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Le début du cauchemar ; Pv Arianne
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Âme solitaires
Noa Alighieri
Messages : 11
Date d'inscription : 02/07/2016
Noa Alighieri
Sam 16 Juil - 2:07

         
L'inizio di un incubo


- « AAAAAAAH !!! PUTAAAAAAIN ! »

Un râle de douleur. Un gros râle de douleur s’extirpa de mes lèvres lorsque je me réveillai brusquement. Tellement brusquement que je tombai avec fracas de mon lit. Ma tête déjà endolorie heurta le sol et exacerba cette violente douleur qui me taraudait. Déjà lourde comme une pastèque, elle menaçait d’exploser. C’était comme si un étau se resserrait autour de mon crane. Mal en point en plus des oreilles qui n’arrêtaient pas de bourdonner, je n’osai pas ouvrir les yeux. Pas encore. Vu que je connaissais ma chambre par cœur, il me restait juste à avancer à l’aveuglette jusqu’à l’un  de mes tiroirs dans lequel je prendrai un cachet, que m’étais-je alors dit. Il fallait en tout cas que je me débarrasse de cette maudite douleur. De ce fait, je me levai sans trop réfléchir avant de prendre la direction que je croyais être celle de mes tiroirs. Sauf que je fonçai droit sur un mur que je heurtai de plein fouet avant de tituber bêtement et de retomber lourdement sur mes fesses, le pif endolori. Ayant marre, c’est à cet instant que je consentis tant bien que mal à ouvrir les yeux. Un peu floue lors des premières secondes, je dus cligner des yeux pour bien rétablir ma vue. Et quelle ne fut pas ma stupeur une minute plus tard de constater que je n’étais pas chez moi.

- « C-C’est quoi ce bordel… ? »

Murmurai-je à moi-même, avant de me relever tout doucement malgré mon affreuse migraine. Et là, à cet instant précis, les souvenirs affluèrent. Des souvenirs concernant mon incarcération : L’isolation, le sentiment frustrant de ne rien pouvoir faire, ces murs d’un gris terne qui m’évoquaient la petite cellule où j’étais enfermé, la violence quotidienne et les multiples tentatives de viol des nombreux pédés qui en voulaient à mon cul… Un flot de pensées atroces qui me revint en tête comme l’effet d’un coup de poing à la gueule. De quoi me faire hurler comme un fou. Un animal sauvage. Sans retenue aucune. Plus que mon mal de tête, c’était maintenant cette dimension psychologique qui me faisait mal. C’était pire que de la torture. Ça faisait mal. Extrêmement mal, tant et si bien que je me ruai vers le mur le plus proche avant de l’assaillir de coups de poings en tout genre. Cette frustration, cette gêne, j’essayai de l’expulser de mon corps, de mon subconscient. Cette situation incompréhensible et inexplicable me dépassait vraiment. Qu’avais-je fait de mal pour être encore enfermé ? Ne m’étais-je pas déjà repenti ? N’avais-je pas fait pénitence ? Des questions sans réponses qui me forcèrent à me défouler sur ce pauvre mur que j’ébranlais presque.

Sans quoi j’allais certainement sombrer dans la folie, la démence. Je le sentais. Je le savais même.

Après plus d’un quart d’heure de violence, je finis par tomber sur le lit. J’avais les poings horriblement gonflés. J’étais crevé. Et j’avais heureusement évacué toute cette frustration en moi, d’un coup, tel un vrai sanguin. Ça avait beaucoup de défauts, mais là, l’avantage était net. Paradoxalement, mon mal de tête s’envolait petit à petit. Une bonne nouvelle. Essoufflé, j’étais resté sur mon lit pendant un long moment sans bouger, fixant le plafond d’un air un peu perdu. Puis, une demi-heure plus tard, je consentis à me lever. Mon corps était un peu lourd, mais cette sensation de lourdeur et les douleurs que je ressentais n’étaient entièrement différentes de celles que je pouvais ressentir le lendemain d’un entrainement de karaté. J’étais donc plus ou moins habitué, même si c’était jamais vraiment fun. La migraine seule fut la seule chose qui m’ébranla vraiment, mais vu qu’elle s’atténuait petit à petit, c’était de bon augure. Je regardai autour de moi, avant de constater qu’il n’y avait que le minimum dans le coin. Une table, une lampe digne des vieilleries de l’ancien temps, un rideau qui devait sans doute cacher des latrines de fortunes et une armoire. Une armoire ! Je me dirigeai vers elle, l’ouvrit et constatai avec dépit qu’il y avait quelques vêtements et tout…

Les miens quoi.

- « Vraiment dans la merde, en fait… »

Sur cette pensée, j’eus un rire. Parce que ça me dépassait, mais vraiment. Je revins à mon lit sur lequel je posai encore une fois mon cul, puis je me mis à cogiter. Qu’est-ce que j’avais fait de grave ? De mal ? J’essayai de me remémorer de ce que j’avais pu faire, mais quedal. Rien de notable. La seule chose dont je me rappelai plus ou moins clairement, c’était ce moment à la cantine. Des lasagnes au menu. Puis, plus rien. Mes souvenirs étaient nébuleux. Juste incompréhensible. Un soupir vint conclure cette réflexion vaine. Je me pris la tête dans mes bras. Puis, progressivement, je me mis à penser à mes vieux… Mes amis… Mon entourage… Leurs visages me firent sourire pendant une bonne poignée de minutes, en plus de me mettre du baume au cœur. De quoi me pousser à me lever pour m’approcher de la porte et d’actionner la poignée. Alors que je croyais que la tentative serait vaine, quelle ne fut pas ma surprise de voir la porte s’ouvrir devant moi. Stupéfait pendant quelques secondes, je finis par sortir et tombai sur des couloirs et ruelles pour le moins bizarres. C’était quoi cet endroit chelou ? C’était quoi ces maisons bizarres, délabrées ? Où étais-je encore tombé ? Autant de questions qui me firent pousser un juron en italien alors que j’étais encore devant ma « maison »…

- « Bordel… »


         
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Âme solitaires
Arianne T. Gardenchief
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Age : 27
Arianne T. Gardenchief
Lun 18 Juil - 14:29

Etrange première rencontre

Habitation • Avec Noa.

Allongée où ne savait où, probablement dans l'un de ses divers bâtiments qui surplombait la ville-prison, la jeune femme avait finalement repris conscience. Du moins, avait-elle peiné à reprendre ses esprits. Sa tête lui faisait mal, et bon sang que ses pensées étaient brouillées...

Si brouillées...

Pendant quelques minutes, l'italienne avait regardé le plafond, en imaginant encore pourtant de façon réaliste l'odeur des raviolis qui avait été servi à la cantine. L'une des seules fois où elle s'était donnée la peine de manger dans cet endroit infâme. Quel ne fut pas sa surprise que de n'avoir plus que ce goût en guise de souvenir. De se réveiller dans un nouvel appartement, pour mieux commencer la journée ? De ses yeux turquoises -en général, les gens appréciaient la couleur au-delà de son mauvais caractère-, elle avait examiné les alentours, avant de se rendre compte qu'il ne devait y avoir pour seul habitant que sa petite personne.

Ce qui n'était pas plus rassurant.  

Les hypothèses étaient tout compte fait nombreuses. La jeune femme avait tout d'abord pensé à un enlèvement. Elle n'était probablement pas si loin de la vérité. Mais le pire aurait été...Eh bien, de se réveiller dans l'appartement d'une autre personne. Un homme surtout. Ce qui, bien heureusement, n'avait pas été le cas. Elle s'était levée, sans doute pour examiner depuis sa fenêtre la vue que l'appartement lui offrirait. Déception pour la Gardenchief. Il n'y avait là que de la ferraille et ce qui semblait se méprendre à un grand quartier. Inconnu qui plus est.

Où était-elle ? Toujours à Rome ? Ou bien à Milan ?

Ô, chère Milan...L'endroit lui manquait terriblement depuis déjà plusieurs années. Plus que ce quotidien où les sourires étaient feintés et les bons sentiments, simulés de plein gré. Sa mâchoire s'était serrée à cette pensée, avant de se décontracter peu de temps après.

Ce n'était pas chez elle. Elle qui avait été habituée au luxe, elle aurait reconnu le paravent coûteux et l'épais tissu de soi de ses draps au premier coup d’œil. Non, tout en cet endroit hurlait la sobriété. Il n'y avait pas grand matériel si ce n'est...Une sorte de vieux balai dans un placard. Haussant les sourcils, sa main était venue refermer la porte du mini-placard, alors que ses pas l'avaient mené vers quelques autres petites armoires. Elle n'y trouva rien de plus que...

Mais qui était le couillon qui lui avait foutu un vieux balai dans cette pièce comme si elle était la ménagère du coin ?! Et c'était quoi cette armoire avec des pantalons, hauts et robes à sa juste taille ? Les premières minutes passées dans ce trou à rat allait déjà la rendre folle, si bien qu'elle ne put s'empêcher d'hurler brièvement sa frustration, bien malgré les oreilles de ses voisins...

« Rhaaaaaaaaaa ! »

Si un hurlement italien pouvait résonner fortement, celui-ci devait probablement avoir été entendu très longuement. Et de loin. Mais ça serait fait au moins.

Tant pis. Revenue sur ses pas, la jeune femme avait pris le balai, et sans grande délicatesse, elle l'avait cassé à son extrémité. D'une main ferme, son regard s'y était posé quelques secondes. Son arme ressemblait plus à un bâton en bois qu'à une épée d'escrimeur, mais qu'importe. On ne savait véritablement sur qui elle pouvait tomber, et quoiqu'elle s'attendait à rencontrer une porte fermée à clef, celle-ci s'était ouverte tout naturellement. Comme par magie.

Après tout, les stalkers ne devaient pas être si loin que ça, si ? Elle n'avait pas eu à s'avancer davantage qu'une silhouette se profilait juste devant elle. Elle tapota sans réelle douceur l'épaule de l'homme, tout en se raclant la gorge de façon à signifier sa présence.

« Je ne sais pas qui tu es...mais je n'ai pas grand choix actuellement.» « Je ne te connais pas. Je ne sais pas trop si tu es un agresseur ou autre. Et en fait, je m'en fiche un peu pour l'heure. » Oui, voilà. Voilà le reste de sa phrase, peut-être trop sous-entendu pour être assimilée réellement. Quelques secondes seulement s'étaient écoulées avant qu'elle ne demande autre chose. Les quelques voix qui résonnaient au loin n'avait rien des sonorités latines de sa chère Italie. Peut-être était-ce également le cas pour cette homme ? « Tu parles italien ? »

Le blondinet avait ce regard qui en disait long malgré tout. Malgré cette apparence plus dure qu'il montrait en cet instant. Alors lui aussi...Il était perdu. Mais peut-être bien qu'il pensait en réalité trouver une réponse à ses questions en les demandant à elle, femme tout aussi paumée qu'il ne l'était ? Un soupir presque amusé s'était échappé de ses fines lippes, avant qu'elle ne daigne reprendre la parole en abaissant son bâton.

« Ou alors toi aussi...Tu n'en sais rien ? »

Son « arme » n'avait toutefois pas été lâché pour autant...On ne savait jamais, face à un grand gaillard balafré. Ou même par la suite. L'un des meilleurs moyen pour rester penaude était de se « présenter » comme elle l'avait fait cela dit. Se raclant la gorge, Arianne ne s'excusa réellement que par le ton qu'elle employait, plus doux qu'auparavant.

« Eh bien putain..." L'espace d'un instant, elle avait reculé de quelques pas, découragée. Oui hum...je sais. Un manche à balai, c'est pas génial mais je fais avec les moyens du bord et cet endroit ne me dit rien qui vaille." La belle brune avait rit, légèrement. D'un rire gêné ou autre? Elle-même ne savait pas véritablement en fait. Ce n'était pas contre toi, mais j'aimerai savoir où je suis. Milan ? Un quartier malfamé de Rome peut-être ?»

Ou peut-être bien qu'ils étaient morts et qu'ils se retrouvaient dans une sorte d'au-delà ?

Bah voyons...

En fait, la carrure de cet homme était pour le moins impressionnante, et sa tête était...Peut-être bien pensive ? Ou menaçante ? Difficile à dire, et la balafre qu'elle constatait au coin de son œil droit ne la rassurait pas plus. Si ça se trouve, ce voisin était autrement plus dangereux. Ce n'était donc pas sans utilité qu'elle gardait en main le bout de bois. Quant à elle, il lui semblait que la seule chose qu'il lui restait se résumait à ce qui était déjà dans les poches de sa veste, qui la maintenait plus au chaud.



Citation :
Désolée, je poste ça rapidement en ce début d'aprem, mais si problème il y a, n'hésite pas à me le signaler. ;)
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Âme solitaires
Noa Alighieri
Messages : 11
Date d'inscription : 02/07/2016
Noa Alighieri
Mer 20 Juil - 4:08

         
L'inizio di un incubo


- « A la base, je suis turinois et j’étais à Turin aux dernières nouvelles. Ceci dit, je peux t’assurer une chose : On n’est clairement pas en région Piémontaise. »

Plutôt que de gueuler ou même d’ignorer la meuf qui était un vrai moulin à paroles, je l’avais regardé de façon stoïque, avant de répondre finalement à sa question. Ou tout du moins d’essayer. Elle était vraisemblablement perdue. Tout comme moi. Du coup, j’étais dans une situation à deux volets, comme d’habitude : Soit elle était de mèche avec les gars qui m’avaient enlevé et jouait le jeu, soit elle ne mentait pas et elle était victime comme moi d’une séquestration que je n’arrivais pas à comprendre. Dans ces conditions, difficile de trancher n’est-ce pas ? Mais mon intuition me disait qu’elle n’était qu’une pauvre meuf paumée, un peu comme moi quoi. Le fait qu’elle me posa la question de savoir si je parlais italien me fit tiquer pendant quelques secondes, mais il y avait mieux à faire et à penser. Un vent frais balaya alors l’allée dans laquelle nous étions et me fit frissonner légèrement. C’est à ce moment-là que je me fis la réflexion que nous n’étions peut-être pas en Italie. La température ambiante ne correspondait pas vraiment à celle de notre chère patrie à cette période de l’année. Après, certaines régions étaient particulières et il n’était pas nécessaire que j’expose cette hypothèse à celle qui me faisait face. Elle paniquerait…

- « Tout ce que je peux te dire, c’est que je viens de me réveiller, il n’y a pas longtemps. Et je connais pas ce coin bizarre non plus. J’ai essayé de creuser dans mes souvenirs, mais la dernière chose que j’ai en tête, c’est que je bouffais un plat de raviolis dans la cantine de mon bahut… »

Je lui avais machinalement raconté tout ça sans arrières pensées, histoire qu’elle soit un tant soit peu rassurée. Faut dire que j’avais une gueule particulière. Ferme, jamais souriante, avec une cicatrice qui barrait une bonne partie de ma face. Pas de quoi inspirer la confiance. Elle avait même eu du cran pour m’approcher comme ça. Heureusement d’ailleurs que je m’étais calmé quelques minutes auparavant, sans quoi, Dieu seul sait ce qui se serait passé. J’eus un soupir et je regardai les environs encore. Non… Définitivement non. Nous n’étions pas à Turin. Ni dans le Piémont tout court. J’en avais l’intime conviction. Intuition masculine si vous voulez. Pour le reste, allez savoir. Je finis par reporter mon regard sur la meuf et me présentai sans trop tarder : « Je suis Noa. Noa Alighieri. » Pour le reste, il n’y avait plus grand-chose à dire. Elle savait à peu près tout ce qu’il y avait à savoir. Je lui avais plus ou moins répondu, je lui avais raconté la vérité et je m’étais présenté. D’ailleurs, nous avions tous les deux bel et bien l’accent du pays et notre langage était fluide. Bref, deux italiens coincés dans un trou perdu, au milieu de nulle part. Pas forcément glamour comme lieu de rencontre, hein ? D’ailleurs, à bien regarder les environs, un fait s’imposait…

- « Vu le nombre de piaules, je me dis qu’on ne doit pas être les seuls. Je suppose que tu as du entendre des voix tout à l’heure, non ? »

Ça n’avait duré que l’espace d’un instant, mais j’avais moi aussi entendu des voix. Après, je ne m’avais pas pu me concentrer dessus parce qu’une personne m’avait adressé la parole : Ma compagne d’infortune en face de moi. Du reste, ce n’est qu’après cette pensée que je la détaillai du regard : Coupe de cheveux correcte, beau minois, gros nichons, hanches évasées qui devaient promettre un cul opulent et bien rebondi comme le gros balcon qu’elle avait… Bref, une beauté à en couper le souffle. Du même calibre que ma petite amie en fait. Pile mon genre. Une italienne, une vraie, toute en chairs et en courbes. Pas comme les autres anorexiques qui peuplaient le reste du monde occidental. Dans un autre contexte, je l’aurai dragué sans me gêner. J’étais pas un gros porc, mais j’étais un homme avec ses envies et ses désirs comme tout le monde. Passer à côté d’une callipyge était une hérésie pour moi. Ceci étant dit, nous étions dans une merde dont l’envergure nous échappait encore. Ce n’était clairement pas le moment de penser cul. Aussi m’étais-je retourné pour ne plus l’avoir en visuel. C’était pas comme si j’allais succomber, mais manquerait plus qu’elle me prenne pour un gros violeur qui n’en avait qu’après ses fesses.

En plus, elle avait cette tronche-là : Le genre de bonasses difficiles à encadrer. Mais peut-être me trompais-je.

- « Tu fais bien d’être armée. On sait jamais, vu ce coin de merde. Je te conseillerai aussi de rester sagement dans ta chambre. En plus de la fraicheur ambiante, l’endroit me parait pas vraiment recommandable pour une fille comme toi. Je vais inspecter les alentours et je reviens te faire un compte rendu, si tu veux. »

Ma voix avait été tout à fait calme. Par ma dernière phrase, je lui proposais implicitement une collaboration. Vu qu’on savait pas trop dans quoi on était fourrés, le mieux était de se serrer les coudes. Et puis le temps allait me certifier si oui ou non elle jouait la comédie. C’était somme toute un bon plan. Le contraire était tout à fait valable, du reste. Si elle était innocente et qu’elle me pensait être un acteur ou une menace, le temps allait lui prouver le contraire. Après, ce que je voulais plus que de la confiance, c’était de l’entente pour la suite des évènements à venir. Si on réussissait à s’en sortir, nul doute que chacun de nous repartirait à sa vie d’antan sans regarder en arrière. J’étais de ce genre en tout cas. Avec un peu de chances, elle aussi. C’est sur ce constat que je me mis à avancer tranquillement en fourrant mes mains dans mes poches. J’aurai bien pu m’armer, mais mes poings suffisaient amplement si jamais il y avait un danger. Je n’avais même pas idée d’où j’allais débuter mon inspection. L’idée était d’avoir des repères au cas où. Trouver peut-être une cabine téléphonique ou bien un téléphone, mais j’étais à peu près sûr qu’il n’y en avait pas où qu’ils ne seraient pas en état de marche si par le plus grand des miracles j’en trouvais…

On était tout compte fait dans la merde à mon sens. Et pas qu’un peu…



         
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