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Sylvia L. Heatherton
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Sylvia L. Heatherton
Ven 29 Juil - 18:27

sylvia heatherton
tonight, in the infinitesimal light of the stars, the trees and the flowers have been strewing their cool odors. I walk among them, but none of them are noticing.
tiges raides et cassantes, fleurs figées par la mort en d’étranges dentelles
Nom : Heatherton.
Prénoms : Sylvia Loreleï.
Âge : 18 ans.
Date de naissance : 23.11.1997
Lieu de naissance : Londres.
Nationalité : Anglaise.
Sexe :
Orientation sexuelle : Bisexuelle.
Sylvia en cinq mots : Bourrasque. Disloque. Art. Etoiles. Blanc.
Plutôt pacifiste, belliqueux, solitaire ? Individualiste de surcroît, donc solitaire ; bien qu'elle ne rechigne à la coopération lorsque celle-ci est obligatoire.
Sylvia, étoilée d'éphélides. Silhouette ténue, peau laiteuse. Bras menus, moue boudeuse. Sylvia, l'inopinée douceur. Fragrance sucrée, rires cristallins. Démarche distinguée, regards incertains. Sylvia, éclat fané. Voix perdue, prunelles cendrées. Complaisance prétendue, pensées qui taraudent. Chevelure veloutée, présence incommode. Sylvia, porcelaine brisée. Frêle colombe, poids plume. Mélancolique amertume, pommettes rosées. Robes immaculées, pureté qui surplombe. Accoutrements opalescents, cascade retombant au creux de ses reins, flavescente. Sylvia, oisillon doré. Épiderme satiné, duvet ambré. Et son rouge à lèvres Guerlain, ses robes Hamda Al Fahil ; ses escarpins  Ralph & Russo, ses sacs Christian Dior. Sophistication aristocratique, visage poupin. Sylvia, princesse déchue. Et le désir, le cœur se penche vers des affublements moins gracieux ; Dr Martens noires accrochées aux pieds, t-shirts sombres aux motifs, aux slogans belliqueux, pantalons troués, pantalons tâchés de peinture. Enfreindre, transgresser les codes de la Haute, l'image qu'on lui porte et attribue au seul murmure du nom de ses géniteurs. Pas qui résonnent et détonnent alors sur le bitume froid, fringuée de nuance de jais, tignasse en bataille, regards assassins et bâton de mort entre la commissure des lèvres. Se libérer des stéréotypes, se détacher des clichés, déclencher la fureur du paternel et faire hausser la voix de Mère.

Elle a toujours voulu être ce qu'elle n'était pas. Se construire une identité de par la personne qu'elle incarnait, et non par la fortune de ses parents. Ses désirs virevoltent, la pensée embrasée de n'être qu'imposture dans ce bas monde, fureur dans le ventre de tous les baiser, de leur faire comprendre qu'ils ne sont que merdes profondes à l'existence minable et futile, que l'or coulant à travers leurs pores ne leur garantiront pas un avenir potable, de leurs souliers argentés, de leurs sourires sournois, de leurs jolis minois. Tout n'est que tromperie, sombre mesquinerie qui n’avancera à rien, que la LSD ingérée ne changera rien à leurs personnalités médiocres et incapables. L'héroïne coulant dans leurs veines pâles ;  bassesse des plus profondes que de croire qu'ils se sentent invincibles et intouchables. Que reste-t-il des carcasses inconsistantes une fois la drogue estompée ? Merdes, mélasses indélébiles imprimées au fer rouge sur leur front qu'ils ne sont que putes de la société consommatrice. Qu'ils raillent donc ! Qu'ils s'exclament à voix haute de leurs exploits impressionnants ! Qu'ils tâchent de combler ce foutu vide dans leurs esprits qui les colle aux basques ; qu'ils tentent, par tous les moyens, d’enjoliver leurs putains d'existences fades et insipides. Qu'ils crèvent finalement dix pieds sous terre dans leurs tombes piteuses et miteuses ; qu'ils se fassent grignoter par les Calliphora, qu'elles viennent pondre leurs œufs dans ces globes oculaires aveugles, dans ces bouches abjectes et insolentes, que les Sarcophaga viennent dévorer leur chair décomposée, que les arachnides viennent tisser leurs toiles dans le creux de leurs orifices restants. Qu'ils clamsent de manière pathétique, odieuse ; la clique absente pour venir pleurer sur la sépulture affreuse, tous trop occupés à s'défoncer la gueule entre coke et putassières de première, payées 400 balles de l'heure. Pourtant, Ô pourtant une fois retournés à  leurs conditions primaires, une fois devenus cendres et miasmes, leurs jolies parures ne les sauvera pas de cet enfer collectif qu'on finira tous par rejoindre à notre tour lors de notre finalité respective.

Flegmatique est alors le regard qu'elle porte au monde, la hargne dissimulée dans les tréfonds de son âme. Désabusée, désillusionnée, elle s'efforce néanmoins de participer à cette pièce de théâtre absurde, de mimer la comédie, de se cacher derrière des grandes parades, des grandes paroles, de grands actes. Qu'on ne la surprenne jamais dans son hypocrisie morbide, ses mots doucereux enveloppés dans une vermeille calculée ; qu'importe ses intentions, l'agissement reste lâche et impalpable dans sa finalité. L'attente demeure cependant d'un événement grandiose, d'une palpitation qui fera vibrer ses cordons et qui laissera place à une jubilation malsaine, satisfaction remplie, suffisance comblée. Et poussée par cet espoir aigri, elle se laisse prendre au jeu, à porter ce masque social, à imiter ses semblables, sans pour autant finir dans le troupeau. Car la solitude la sied si bien, ornement qui la suit à la trace, collée à sa peau telle une secondaire chair. Et la simulation est divertissante le temps d'une journée, mais une fois le crépuscule tombé, l'épuisante réalité pourfend son corps de ses actes peccamineux et s'expie-t-elle alors de ses fautes lorsque, enfin, il ne reste plus qu'elle-même, seule face à sa propre personne et ses pensées démesurées. Qu'importe les tentatives, les désirs envenimés, Sylvia reste juge, bourreau et victime de cette condamnation imposée, blâme qu'elle s'inflige avec impartialité et indifférence. Qu'est-elle donc, pour juger, critiquer, reprocher l'actes d'autres lorsque, cuillère dorée en bouche, elle n'ose faire un pas vers le bon, le noble, la bienfaisance. Qu'est-elle donc, pour ainsi cracher sa médisance, elle, incapable de la vie. Hypocrite de mauvaise foi. La voilà présente à paraître défenseur du bas peuple, lorsque l'évidence se feint autre part. Hérésie. Contradiction la torturant, paradoxe la tourmentant.  La réalité se déguise, se fond dans de beaux mensonges, enténébrée dans ces simulacres artificieux. Quelle laideur lorsqu'elle daigne paraître dans toute sa splendeur, ravivant l'obscur, le supplice, le questionnement sans fin. L'égoïsme démesuré de la belle se révèle alors, étouffant cette peur de quitter le confort, cette  terreur de voyager vers l'inconnu ; la seule envie dans le cœur qu'on vienne enfin mettre fin à son existence morose et assommante. Éclat perdu depuis longtemps dans ses pupilles, elle n'est là que pour le Décompte Final.

Yey ! Moi, c'est krysalism, j'ai 18 balais et j'fais du rp depuis genre beaucoup d'temps., j'ai trouvé le forum grâce à un partenariat et franchement, j'le trouve vachement badass. Juste un petit truc à redire, le formulaire de présentation est plutôt surchargé ; il serait peut-être plus ingénieux de mettre l'html dans la feuille de CSS du forum et ainsi utiliser des div class pour rendre la lecture plus aisée pour ceux n'étant pas habitués et/ou néophytes en codage. Bien sûr, j'ai lu le règlement. J'ai même appris que Stas a marché sur le premier code et a volé le deuxième pour le cacher sous le clavier sans pour autant oublier qu'il a mangé le troisième !
Génitrice au cœur absent, délaissée par son mari. En quête d'un amour passionnel, en proie d'une histoire qui feront vibrer tendons et autre fibres cellulaires. Et l'ardeur serpentant à travers ses veines, la voilà coupable d'adultère. Simple mortelle responsable de son propre malheur, condamnée à vivre dans le mensonge et l'infamie auprès de celui partageant sa vie. Nul doute que la graine fleurissant au sein de son corps ne peut être si facilement rejetée, la cruauté ne lui séant guère à l'encontre de ce futur enfant à en devenir. La voici alors, arborant ses plus beaux sourires et s'affublant d'artifices à prétendre que l'enfant est sien, tentant de rectifier son erreur impardonnable par une supercherie élaborée à laquelle sa moitié parvint à y croire, dur comme fer. Naissance de cette existence pécheresse, fruit d'une union interdite. L'ironie de la situation est palpable ; sont couverts d'éloges les deux parents de cette si bonne nouvelle, et pendant que la mère se meurt dans son chagrin et ses regrets, la figure paternelle est fière de sa progéniture si ressemblante. Frêle colombe qu'on baptisera Sylvia, petite princesse qu'on honorera du prénom Loreleï dû à ses pleurs harmonieux, à ses gémissements mélodieux.

Le couple semble heureux, l'est-il réellement ? L'époux s'abandonne dans les bras de sa conjointe, délaissant sa carrière professionnelle pour rétablir une situation plus chaleureuse  et intime pour sa nouvelle famille. Lui qui fut autrefois si absorbé par son travail se retrouve dorénavant auprès du berceau de son petit bébé à veiller sur elle tel le père qu'il devrait être, à s'acquérir des tâches ménagères pour rendre la vie plus facile à la mère, épuisée de tous ces récents efforts. La petite gazouille, baragouine, sourit ; elle attendrit les cœurs de ses créateurs. Et au fur et à mesure que le temps passe se forme la parfaite vie de famille qu'aurait souhaité l'épouse dès le départ, rendant alors l'amertume, se cachant au plus profond de son âme, encore plus difficile à digérer. Pourtant la faute avait déjà été commise, était-ce si nécessaire de continuer cette torture psychique et destructrice ?

Sylvia est initiée à diverses activités dès son enfance. Bien entendu, la musique passe avant tout, géniteur exerçant une profession en rapport. Piano et chant lui sont alors imposés de surcroît, sans qu'elle n'ait son mot à dire. Qu'importe, elle n'était que bambin incapable de réfléchir par elle-même à cette époque. L'obsession ne cesse de s’accroître dans l'esprit du père ; il ne la voulait pas seulement bonne, mais excellente dans ce domaine. Il en relevait de sa fierté et de son orgueil personnel. La progéniture s'engage alors dans une étude obsessionnelle de la matière, trimant comme jamais pour atteindre les espérances démesurées de son géniteur, bien décidé à tracer sa vie du haut de ses cinq ans. La mère ne sait, ne peut refréner les pulsions de son bien-aimé, trop occupée à geindre silencieusement du passé dès qu'il eut le dos tourné pour s'affairer de l'éducation musicale de l'enfant.

Elle suffoque, emprisonnée dans cette cage dorée. Ses actions, ses pensées, son corps tout entier sont dirigés par son marionnettiste qui ne lui laisse aucune seconde pour souffler. Et son esprit se disloque, se détraque de part en part ; Sylvia tente pourtant de se défaire de ses chaînes, essaye de se dégager de cette oppression bien trop sévère qu'exerce le paternel. Elle s'efforce, pauvre petite, à convaincre l'inaccessible ; tentations vaines et futiles qui s'en émanent de ces essais peu fructueux. Quelle bêtise dont tu fais preuve Sylvia, qu'il morigène alors, regard assassin. Ne vois-tu donc pas que je fais cela pour ton bien, qu'il continue. Je te construis un futur et tu oses vouloir le détruire, qu'il hurle à sa fille. Cesse donc d'être aussi bornée, qu'il achève, mine terrifiante, colère marquée au fer rouge sur son visage. La barrière de ses lèvres se rétracte alors, ne laissant filtrer plus que le silence assourdissant assiégeant sa frêle personne. Elle se contente, se décide d'agir selon ses caprices et ses bon vouloirs, se réduisant à la simple condition de poupée de cire, poupée de porcelaine. S'achève finalement le ballet incessant, la querelle éternelle entre l'adulte et l'enfant, consensus mis à l'écart, non approuvé. Et la haine bouillonne, fermente, dévore son âme. Elle s'introduit au creux de son esprit, parcourt sa chair ivoirienne, s'insinue telle une intraveineuse à travers ses pores ; acrimonie inopinée prête à être déversée, expulsée de son hôte épuisé par ce maelström de sentiments fielleux. Elle taraude, dans la pénombre, prête à bondir, à sortir les griffes ; en quête d'une occasion à saisir, de vivre enfin son moment de gloire et d'en tirer un pernicieux plaisir. Sournoises sont ses intentions ; infaillible est sa détermination.

La vie de famille parfaite n'est plus qu'un lointain souvenir, était-ce même peut-être une illusion fugace, fabulations d'un esprit naïf, chimères d'un désir houleux que d'obtenir le quotidien idyllique si souvent montré à la télévision ; quelle fatale et divine punition s'abattant sur cette famille faussée jusqu'au bout des ongles. La routine grisante s'impose, les jours s'écoulent et se ressemblent. Les notes de l'instrument détonnent entre ces quatre murs, elles se répercutent, se froissent ; absentes d'une âme quelconque, vides d'émotions sincères. Et ses doigts fins se fracassent, se heurtent sur les touches, embués d'une colère dissimulée. Parfaite automate qu'elle est, rôle qu'elle exécute à la perfection.

L'hypocrisie à un goût de caviar. Ils défilent dotés de leurs nouvelles parures excentriques, ils s'embrassent mais se chuchotent des injures tout bas, ils rient ensemble mais se méprisent secrètement. Les conversations se limitent aux dernières médisances, aux derniers défilés de la Haute Couture. Oh oui, celui d'Elie Saab était merveilleux, qu'elle entend. J'étais aux premiers rangs d'ailleurs, qu'on s'exclame. Parades artificielles ; toujours être le premier à en montrer le plus aux autres, toujours être à l'affût des scandales. Qu'ils restent dans leur médiocrité, Sylvia n'en ferait pas partie. Toute cette mise en scène ne semblait n'être que farce de mauvais goût, ses semblables étaient-ils aussi mauvais ? Elle ne se sentait pas à sa place, parmi ces vautours carnassières. Son père a fait faillite récemment, ne traîne plus avec lui, tu te feras du mal pour rien, qu'elle saisit dans la cacophonie des couloirs. Bordés dans un berceau fait de soie et d'or, ils se pensaient tout puissants. Son regard s'égare alors vers le sujet de toutes les discussions : petit garçon solitaire qu'on pointe du doigt, petit garçon solitaire qu'on évite, petit garçon qu'on raille. Les relations ici se basent sur l'apparence et la fortune de ses parents ; quelle idée aberrante. Elle qui pensait déjà vivre un enfer, la voilà surprise de constater que tout cela n'était qu'imposture, comparé à ce qui l'attendait dans cet endroit ; Ô joie que de rejoindre ces limbes ornées de diamants 24 carats, Ô joie que de rejoindre ce purgatoire aux enjolivures Chanel.

On s'adapte où on crève, qu'on lui déclare. Elle relève la tête vers son interlocuteur, sourcils froncés. Pardon ? qu'elle demande. Eliott. Mais tu dois déjà me connaître, ces putains de commères n'arrêtent pas de parler derrière mon dos, qu'il lui explique, index pointé vers un groupe de filles qui leur jetaient des regards malsains. Ainsi avait commencé leur relation chaotique ; Eliott et Sylvia, Sylvia et Eliott. Tous deux impopulaires, leurs conditions et leurs mentalités différentes les avais réunies. La condescendance que leur adressaient les autre compatriotes, ils en riaient à gorges déployées et leur crachaient en retour à la gueule. Dans la même idéologie, ils se moquaient ouvertement des principes et de ce monde aux teintes dorées ; pendant que les autres gosses de riche noyaient leur médiocrité dans des rails de coke et des soirées de débauche, ils s'amusaient à plonger, s'immerger dans toutes les formes d'art possibles, à s'induire de Van Gogh, à rêver et se perdre dans les œuvres d'Alfons Mucha ; à danser sur Nocturne en E majeur op. 9 no. 2 et à se déhancher sur Crazy on You. Ils passaient leurs soirées à débattre, ressasser sur tellement de sujets si vastes et infinis ; telle la voûte nocturne qu'ils contemplaient parfois le soir venu, ensemble, à s'émerveiller de ces étoiles longtemps éteintes.

La nourriture semblait si peu ragoûtante. Sa fourchette remue sans envie les raviolis ; était-ce possible d'avoir une qualité si mauvaise dans un établissement si fortuné ? Un soupir s'échappe silencieusement de ses lèvres. C'est mort, qu'on lui murmure. C'est mort, mon père n'arrivera jamais à remonter la pente, on est fauchés, qu'on lui souffle. Je vais être obligé de quitter l'établissement, bientôt. On aura sûrement plus assez pour payer mes frais de scolarité. Imagine-moi en école publique !, qu'on continue. Tu seras un Roi, avec une grande majuscule, qu'elle plaisante. La faim tiraille son estomac. Ton père est venu parler au mien ? Tu sais très bien qu'il pourrait vous faire un prêt, qu'elle continue. Non, il a sa fierté. Il ne pourra jamais, qu'Eliott confie. Elle lui lance un regard désolé. T'inquiète pas va, de toute façon, si on se retrouve vraiment dans la merde, je viendrai squatter chez toi, comme d'hab, qu'il lui rassure. Elle lui lance un sourire réconfortant. Quand tu veux, qu'elle surenchère. Bon, finis ta bouffe, on a une expo à aller voir, tu te rappelles ? Ou tu préfères que je t'invite déjeuner à The Foyer ? qu'il souffle, menton appuyé sur un de ses bras. Non ça ira. The Foyer est réservé aux occasions spéciales, manges-en un peu avec moi par contre, qu'elle prétexte, l'idée qu'il puisse continuer à dépenser de l'argent la rendant mal-à-l'aise. Eliott hoche alors la tête et se décide à enfourner quelques bouchées de l'assiette avant que son amie ne fasse de même. Le goût était vraiment particulier. Affreux, pour être honnête, qu'elle pense alors à ce moment-là.


blackout
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Stas Y. Apalkov
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Stas Y. Apalkov
Ven 29 Juil - 20:26
Bienvenue à toi Sylvia.

Bonne idée pour le code de la fiche. Ca, c'est un boulot pour... APRIES ?!?

Et il te manque un code, le troisième (sur trois) dans l'ordre d'apparition dans le règlement.
Je te valide les deux premiers.
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Yuki Fujino
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Age : 34
Yuki Fujino
Ven 29 Juil - 20:29
Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche. ^^
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Sylvia L. Heatherton
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Sylvia L. Heatherton
Ven 29 Juil - 21:52
Merci de l'accueil. ♡

Damn it. Je n'avais pas vu, aveugle que je suis. Voilà, c'est normalement corrigé !

Par ailleurs, durant ma relecture du règlement, j'ai cru remarquer que le titre des sous-parties (before — politesse de base etc.)  menait à ce site (www). Je ne sais pas si c'est un oubli ou alors la créditation (néologisme bonjour) du code alors je me permets de le faire remarquer ici, dans le doute. woaw
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Apries M. Ayleward
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Localisation : Dans la pénombre
Apries M. Ayleward
Ven 29 Juil - 23:19
Hello, to you, miss, et bienvenue chez nous !

Alors, c'est vrai, j'devrais vraiment mettre cette foutue fiche sous CSS mais j'avoue que le plus énervant, c'est de trouver un nom bien explicite pour dire "Ça, c'est ça".

Ensuite par rapport à ta question, oui, c'est totalement normal, c'est le crédit du créateur, seulement, ne souhaitant pas de quiproquo, nous l'avons retiré sur les autres postes.

Bon courage, et bonne continuation, pour la suite de ta fiche.

PS; j'adore les images de ton persos T'inquiète
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Stas Y. Apalkov
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Stas Y. Apalkov
Sam 30 Juil - 0:19
"Ca c'est ça" : Fiche1, fiche2, ...

Et troisième code validé.
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Susan H. Shell
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Susan H. Shell
Sam 30 Juil - 12:29

Welcome ♥

Puisque je bite pas grand chose au codage, je vais laisser les hommes régler cette question ; mais je suppose que ce serait, en effet, plus simple. xD
Enfin ; je te souhaite la bienvenue sur DE. ♥ N'hésite pas si tu as la moindre question.
Ah, "Loreleï" : j'aime tellement ce prénom - et la légende qui va avec. ♥ On peut dire que ça commence bien ; mais j'ai hâte d'en savoir un peu plus. :D

Je suppose que je serai celle qui s'occupera de ta fiche, prépare toi donc à souffrir. Je te souhaite bon courage. ♥

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Dvalin A. Materfall
Sam 30 Juil - 16:36
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thumbs up Enfin voilà, c'est ma manière de te dire bienvenue Non, non, pas du tou
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Stas Y. Apalkov
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Stas Y. Apalkov
Mar 2 Aoû - 9:55
Pense à indiquer quand ta fiche sera terminée, que l'on puisse la valider ! ;)
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Sylvia L. Heatherton
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Sylvia L. Heatherton
Jeu 4 Aoû - 6:32
apriès → ehe, merci pour le compliment. ♥ c'vrai que c'compliqué, mais au pire, utiliser des abréviations dans le genre .cadreFICHE, .caractère ou .physique ça doit pas être si complexe !

sue → olala, merci pour tant de compliments. je n'ai pas vraiment expliqué pourquoi elle s'appelait « loreleï », j'crois que c'est passé à la trappe ahaha.

dvalin → je rougis.

stas → FIGURE-TOI QUE MA FICHE EST ENFIN ACHEVÉE. j'ai beaucoup bâclé, mais j'espère qu'elle restera lisible et pas trop vulgaire bruh.
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Stas Y. Apalkov
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Stas Y. Apalkov
Jeu 4 Aoû - 13:38

Presque !

Bon alors heu...

Je voudrais bien te valider mais !
Un petit souci avec tes descriptions physique et mentale, c'est que (personnellement) j'ai un peu de mal à cerner à quoi ressemble Sylvia.

Pour la physique, franchement, ça passerait.
Mais la mentale... A part la haine de tes parents, tu n'en dis pas bien long. Qu'est-ce que Sylvia aime ? Parce qu'il y a bien autre chose que le dégoût de la société dans laquelle elle a grandi ! Et puis, a t-elle d'autres traits de caractères à part sa sournoiserie savamment décrite ?

J'ai cru comprendre que vous aviez un lien, Elliot et toi, qui ne me dérange pas plus que ça. Mais si tu as cet ami -ce vrai ami- j'imagine que Sylvia est plus honnête avec lui. A moins qu'elle ne se soit vraiment ouverte à personne ?

Pour le reste, tout est ok. Tu es vraiment à un poil de la validation.
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Stas Y. Apalkov
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Stas Y. Apalkov
Ven 5 Aoû - 16:56

Validée

And finally...
J'ai relu en me disant "mais pourquoi je lui demande de modifier, c'est bien en fait" avant de m'apercevoir en te parlant sur la CB que tu avais effectivement modifié des trucs.
C'est mal de lire en travers.
J'aurais dû le remarquer que t'avais fait les modifs !
Bref...

Tout est bon, rien à redire. Tu es donc validé ! Tu peux d'ors et déjà ouvrir ta fiche de gestion et ensuite commencer à rp : si tu ne sais pas avec qui débuter l'aventure, tu peux toujours demander ici. N'oublie pas de faire recenser ton avatar et de nous signaler ta présence ! Enfin, si tu veux retracer tes aventures, il t'est possible d'écrire un journal intime.
Bon courage à toi dans le complexe. N'oublie pas que l'avenir dépend de toi.
Au plaisir de te retrouver pour un rp ou sur la cb !
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