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Inventaire:

Âme solitaires
Eliott B. Wellington
Messages : 17
Date d'inscription : 03/08/2016
Eliott B. Wellington
Mer 3 Aoû - 22:41
ELIOTT B. WELLINGTON
Started crying then popped a valium turned up the volume.
Turn up the volume.
Nom : Wellington.
Prénoms : Eliott Baker.
Âge : 20.
Date de naissance : 01.10.1995.
Lieu de naissance : Londres.
Nationalité : Anglais.
Sexe : Masculin.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel.
Invité en cinq mots : Encre. Nicotine. Vacuité. Plus. Explicite.
Plutôt pacifiste, belliqueux, solitaire... ? : Je-m'en-foutisme.

C’est pas avec ton physique de petite pute que tu vas être mannequin pour calebard. Presque deux mètres. Fin comme le balais que possède le pape dans le cul, ça tabasse pas énormément. auprès de la gente féminine Ton épiderme ? Colorée. Fluide. Magnifiée. Au départ, c’était pour le fun. Puis, finalement, pour ressentir quelque chose. Une aiguille plantée durant cinq putain d’heures sans que ton corps ne ressente quelque chose. Pas. Un. Vibrement. Alors à chaque nouveau tatouage, tu espères. Sauf que aujourd’hui, t’as plus de place. Littéralement. Enfin si.  Il te reste les pieds, la teub, le cou et le visage. T'as toucher à tes mains. T’as bien fait écrire « Sensation » sur tes gencives. Rien. Hormis du sang. Comme toujours. Ce liquide qui a l’air bouillant. Goudronneux. La seule chose qui annonce que tu es encore en vie. Que ton coeur ne rate pas un battement. Saute et tire toi une balle. Peut-être que ton cerveau comprendra une chose : La mort. Illusion de la compréhension. Puis bon, ce n’est pas parce que tu es un ancien fils de bourgeois que tu dois être une grosse tapette bien stéréotypé. Loin de là, tu fais généralement plus tâche au sein des anciens diners à la con. Mais tu le vis plutôt bien et la clope que tu traines au creux de tes deux commissures sanguines fait frémir ton daron de te voir t’enculer la santé à grand coup de tabac.

C’est la chronique d’un malicieux qui pénètre au sein d’un estaminet et qui se déboite la santé à grand coup de shooters. Et pourtant, à l’époque, ce gavroche aurait pu acheter le bar sans avoir une once de honte. D’abaissement. De confusion. D’ignominie. Aujourd’hui, un indivisible verre d’alcool lui casse le cul. Et ce, sans vaseline. Alors cette oblongue tige crayeuse plutôt maigre ne fait pas si tâche que ça dans ce vieux bar miteux, un verre de liquide ambrée dans un verre creux, un livre jauni pourtant le titre « Cynismes » de Michel Onfray. Sous un cuir de cheval aussi rigide qu’un mur de béton et une crinière goudronneuse plaquée en arrière similaire aux idéaux nazis, tu étais guetteur. Guetteur de l’avenir et bien loin des grandes pontes de la Haute qui se ronge intérieurement les entrailles. Une tortueuse main encrée, colorée, bariolée vint saisir le cristal dans un tintement sarcastique. Une bague. Ou plutôt, une chevalière. Frappée du sceau de ta propre famille. Wellington. Un nom d’un grand industriel qui ne signifiait plus rien. Tu aurais pu la vendre, tu aurais pu la foutre à la poubelle. Tu aurais pu. Mais tu n’avais rien fait. Peut-être par peur. Peut-être par flemme. Juste. Peut-être. Base d’une pyramide dont l’ignorance est le sommet. Tes deux sphères ébènes se développent au sein du néant. Tu n’avais plus rien et tu n’étais rien. Une fleur fanée au goût d’alcool. Une cigarette industrielle écrasée par des ongles noircies.

Tu es ce carousel écrasée par le poids des gargantuesques manèges construits à la chaine. Tu es ce fragment d’histoire incomplet qui ne pénètre dans rien. Aux bords fracturés depuis que tu sais. Que tu comprends que c’était fini. Une moue qui tirait la tronche H24 pour une peau blême à en crever. Tu lâches un soupire en comprenant que ce n’était pas aujourd’hui que tu allais faire fortune. Repartir avec une demoiselle et évacuer le stress. Sauf que non, tu avais rendez-vous un poil plus important aujourd’hui. S’évader dans des aliénations artistiques enfermés dans une pièce aux quatre murs ivoires immaculés. Similaire à ton épiderme défunt. Évacuation du stress et oublie d’une situation économique non stable. Une histoire de famille un peu bancale qui ne réussissait plus. De toute façon, tu n’étais plus chez toi et tu ne grandissais plus au sein de ton lit. Les stigmates physiques. Ecchymose d’une bagarre. D’un accrochage lors d’une altercation entre deux verres vides. Une écorce frappée de la plus dure des réalités. Fausse enveloppe corporelle qui cache ta véritable nature. Morceau de viande faiblard. Limpide créature défendant l’oeuvre et la composition. Ancien Roi destructeur des mondes. Hurlement des multiples gueules invincibles. Tu es cette créature colossale et éléphantesque, vestige des croyances passées alors devenu totalement réalité. Non. En vérité, tu n’es plus rien. Tu espères un changement. Un bouleversement.
Le vide. L’abstrait. Le manque. Une drogue. Une espèce de concert sans voix et sans sueur. Une envie inconnue depuis toujours. Le cri et l’hurlement. La douleur mentale. Des doigts qui creusent. Encore et encore à travers l’épiderme vermeille. Rien. C’est chaud. Ça semble chaud. Rien. Toujours rien. Continue. Gratte. Gratte comme le rat sous l’exfoliation thermique de l’embastillé. Tu es le mulot valétudinaire. Tu es ce rat malade. Utile mais dérangeant. Réussir à avoir la gaule. Jouir. Ne rien ressentir. Horlogerie cassé. Robot olympien à l’incompréhension de cette non sensation. Une envie de connaitre. Une envie de comprendre. Hydre invisible et invincible. Se faire éclater la tronche et en rire comme un taré sous cocaïne. Vomir son sang dans la bouche de l’ennemi, la mâchoire fracturée. Une douleur ? Non. Une envie de vivre ? Non.
Extrait de tes pas vivent, l’extrait de tes marches vides.
Erige l’horreur en noyau de l’atome.

Artiste fauché dans l’âme. Son amer. Arrêt sur une victoire tandis que la dent saute. Un son simplet qui donne envie. Une ébauche sociale tracée par la plume d’une défaite âpre. Elle était belle. Somptueuse. Sans elle, tu n’aurais rien pu faire. Dans les tréfonds d’une réflexion vaine, tu avais eu cet halo de lumière, cette chance de lui tomber dessus. Certains diront que les rats ne vivent qu’entre eux. D’autres diront qu’il s’agit là d’une grossière erreur trahissant les problèmes des ovulations consanguines de l’élevée société Anglaise.  Vivre dans de la merde sans réfléchir à verbaliser, oser se laisser aller, ne plus porter l’arme, décompresser. Alors elle était là, dansante et riante. Heureuse et somptueuse. Une torche de lumière artificielle dans une pénombre naturelle, au sein d’artères d’un wagon bar. Le monde libre était là, marche. Marche à ses côtés. La Culture. Belle et princière. Amante de vadrouille.

Il serait bien nauséabond de croire que tu es l’un de ces philosophes de ces nouveaux temps révérencieux. La plume colorée au bec du corbeau qui surplombe la masse grouillante. Que cela ne tienne. Il s’agit d’une fausse idéologie qui ne possède nullement sa place. Confidence dans l’estropié et vacuité dans le mal être. Tu ne sais pas vraiment. Sur tes terres, tu fais la loi. Pas besoin d’élever la voix. Retourne sur tes pas entre une décadence sociale et un humeur aseptisé depuis que tu connais la triste vérité financière de ton daron. Il y avait de la tristesse dans tes propos. Il y avait des conneries dans tes mots. Il y avait de la pure bêtise dans ce que tu véhiculais. Au sein de chaque conflit se terre un ange des enfers. Idiot et vain, l’homme que tu es ne pige pas grand chose au pourquoi du comment. Toutefois, une chose est limpide : Tu finiras avec les rats et les sans-abri au milieu d’un cercle dorée et aux milles marquises.

Détestable. Ignominieux. Maudit. Ordurier. Turpide. Une espèce de déshonneur malsain que tu as à les voir chaque foutus jours de ta chienne de vie. De ton existence qui te mettait sur le banc de touche. Pour eux, tu possèdes les pires maladies du monde. SIDA, Cancer, pauvreté. La pire de toutes. La pauvreté. Une espèce de situation qui te creuse les joues par le soucis. Te grattant la peau en recherchant comment résoudre les problèmes de loyers, d’électricité. Des conneries qui formatent la société, indispensables pour beaucoup. Superflus pour toi. Hausse donc les épaules, attrape non pas une coupe de champagne mais la bouteille entière. Ils suffisaient seulement de quelques billets pour les déshabiller. Comme beaucoup. Ils étaient dans leurs délires. Pas toi. Tu préfères les petits gens. Les gens simples et les bonheurs preux. Pas besoin de grande cérémonie pour diner avec un simple ami. Un sandwich acheté à l’arabe du coin et un pack de bières. La simplicité du philosophe était le maitre mot de ta ligne de pensée.

Tu n’aimes pas le superflu. Tu n’aimes pas la complication. Simplement, tu n’aimes pas. Tu aurais voulu vivre bien loin de la complexité et la difficulté des voutes sociales. La banalité et la sobriété des composantes. Alors forcément, tu n’es pas bien à l’aise. Un nouveau départ. Tu l’espères. Tu le rêves. Une situation meilleure ? Pas vraiment mais il y avait tellement plus à apprécier qu’ici. Toutefois, tu as ce soutien et ce pilier. Alors la vie n’est pas si dure que ça. Du moins, elle semble un peu plus douce. Parfois. Ça reste un coup de poing en pleine gueule. Suivi d’une caresse féminine.
Yey ! Moi, c'est Home,, j'ai trouvé le forum grâce à Sylvia L. Heatherton. et franchement, j'le trouve vachement apocalyptique.  Bien sûr, j'ai lu le règlement. J'ai même appris que Stas a fait disparaître toute trace des codes du règlement !

C’est seulement l’histoire d’un mec. D’un mec qui foire la seule chose qu’il sait faire : Gagner de l’argent sur le dos des gens. Triste réalité, n’est-il pas ? Ça pourrait faire sourire. Faire sourire n’importe qui car la société n’a pas réussi à s’adapter au monde moderne. Une société d’industriel qui n’avait même pas réussi à comprendre que la roue tournait à chaque avancement. C’était sa faute et pas la tienne. C’était sa faute et pas celle de ta mère. C’était de sa faute et pas celle des employés. Une vision bien trop arriérée pour qu’une usine puisse se développer sur un coup de Poker. Alors il avait tout perdu dans un placement boursier que tu trouvais, de base, inutile. Toi qui, de base, devait reprendre la grande industrie de ton père. Du patrimoine ? Plus aucun. Capital économique et sociale complètement détruit par un homme vivant dans le passé. Vivre sous les projecteurs n’était pas ta destinée et cela ne le fut jamais.

La Haute. La très Haute. Elle était belle et somptueuse. Elle fournie les écoles privées pour les gamins. Elle donne le pouvoir et la richesse. Elle prête les amitiés et les amours.  Bref, elle est vacuité tout en étant absolument indispensable. Drôle ? Absolument pas. Vain ? Sûrement mais tu ne pouvais pas vraiment y échapper. Règle donc tes comptes avec les gens qui te collent une trempe. Oui, les enfants des riches étaient anormaux. Oui, les progénitures des opulents étaient inaccoutumées. Des besoins de prières. À raison ou bien à tord, tu étais devenu un peu la bête noire de cette folie. Mouton. Créature satanique qui vomissait sur le sol sa pauvreté et marquait au fer blanc l’école si sélective par l’argent. Alors on t’invite dans les soirées pour se moquer de toi. Depuis le collège. Tu pourrais te travestir. Tu pourrais faire semblant. Mais tu ne voulais pas. Ce n’était pas toi. Ce n’était plus toi. Tu ne parles plus. Tu avais honte. Les larmes aux yeux. Une habitude presque vide de sens.

Tu ne te comprenais même pas toi même. Avoir la haine contre l’amour. Tu plonges du haut de la tour. Puis un jour, tu vois un mec qui débarque. Avec des gorilles et un gros camion. Tu piges pas trop, regardant la scène du coin de l’oeil. Puis, peu à peu, les meubles disparaissent. Les grands tableaux des artistes que tu as appris à découvrir avec le temps ne reste que des esquisses au sein de ton encéphale. Les dettes. Les conneries. Les magouilles. Les problèmes du daron. Alors il ne reste quasiment plus rien dans cette foutue baraque aussi grande que le vagin d’une pute ayant subi un gang-bang il y a cinq minutes. Alors, à quoi cela sert-il que tu restes ici ? Dans ces grandes pièces vides. Vides des âmes et de coeur. La froideur de l’Egypte ancienne. Une austérité malsaine alors qu’une autorité parentale éclate le dernier boulon de son cerveau tandis que le deuxième passe son temps dans la chambre matrimoniale, un mouchoir à la main.

Changement d’esprit. Changement de compréhension. Changement d’ambiance. Simple changement. Tu cherches plus loin. Tu recherches la fréquentation des gens plutôt simples et limpides. La recherche des gens qui mangent en public sans couvert. À la recherche d’un monde sans flics et sans haisseurs. Sans codes. Sans règles. Un truc à l’antipode. Stéréotype maussade mais qui te colle tellement bien à la peau. Oui, tu es un putain de stéréotype. Oui, tu étais fait pour ce métier. Ce monde. Brillant et cruel. Le monde est comme une cour de récréation. Alors tu grandis et la peine augmente. Alors tu changes. Peu à peu. Un peu d’encre par là. Un peu d’alcool par-ci. Des déboires ? Oui. Des déboires qui se mêlent à la culture. Doucement mais sûrement. Mais aucune sensation. Ce vide. Ce vide social. Alors tu insultes et jures comme un marin. Mais tu payes toujours ton verre, replaçant ta crinière ébène vers l’arrière. Un sourire - presque - charmeur. Mais jauni par le tabac.

Puis, elle débarque. Cette gamine. Un poil plus jeune que toi. Peut-être deux ans, un peu moins. Ça accroche. C’est beau. C’est somptueux. C’est apocalyptique. Puis, surtout, ça marche. Ça fonctionne comme une machinerie bien huilée et sans aucun problème. Il s’agit d’un exécutoire. Un pilier. Alors ça chante. Ça danse. Ça déborde. Ça rigole. Ça va voir des trucs artistiques. Ça lit des poèmes à la lueur d’une antique lampe retrouvée dans une maison abandonnée. Puis ça traine ensemble surtout. Même si elle, reste riche, cette petite n’est pas comme les autres et tu apprécies cela. Tu tires un trait pour ta vie de cochon. Bouffe une queue. De cochon. Survivre et comprendre. Apprécié et simplement vivre. Elle te regarde et se demande. Apprendre la vie. N’y croire plus. La folie dans ses yeux. L’usure n’est dû que des nuages dans ton encéphale. Juste pourquoi ? Ce soir, tu restes courtois. Arrête la comédie, deux secondes. Plante le décor. Dans l’abdomen. Les tripes à l’air, t’as l’air assez débile.

Puis ce jour. Nourriture. Amer. Tu la regardes, comme à ton habitude, un livre en main. Histoire d’attendre. Tu n’avais pas particulièrement faim. Quoique.

▬  C’est mort.  

Tu recommences.

▬  C’est mort, mon père n’arrivera jamais à remonter la pente, on est fauchés.  

C’était la triste réalité d’un gravillon dans l’existence d’un bâtiment.

▬  Je vais être obligé de quitter l’établissement, bientôt. On aura sûrement plus assez pour payer mes frais de scolarité. Imagine-moi en école publique !  

Elle te fait rire. Toujours un mot pour dire de la merde.

Tu seras un Roi, avec une grande majuscule.

Non. Tu n’es rien. Un grain de sable sur une plage.

Ton père est venu parler au mien ? Tu sais très qu’il pourrait vous faire un prêt.

Inutile. Son père était un sombre connard qui avait sa fierté de vieux connard parce qu’il s’agissait, d’un connard. Alors tu en rigoles.

▬  Non, il a sa fierté. Il ne pourra jamais.  

Courte pause.

▬ T’inquiète pas va, de toute façon, si on se retrouve vraiment dans la merde, je viendrai squatter chez toi, comme d’hab.  

Quand tu veux. 

Tu en avais marre. Marre de parler de cette merde. De cette dure réalité.

▬  Bon, finis ta bouffe, on a une expo à aller voir, tu te rappelles ? Ou tu préfères que je t’invite déjeuner à The Foyer ?  

Un brin d’ironie, ta main encrée sur ton menton.

Non ça ira. The Foyer est réservé aux occasions spéciales, manges-en un peu avec moi par contre. 

Ça avait l’air. Dégueulasse. Mais c’était gratuit. Tu chopes une fourchette, la plante.

Brume.  
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Âme solitaires
Sylvia L. Heatherton
Messages : 57
Date d'inscription : 28/07/2016
Sylvia L. Heatherton
Mer 3 Aoû - 22:48
coucou je t'aime beaucoup, t'es beau tahu
(j'espère que je vais pas me faire fouetter pour avoir poster un message en tant que non-validée)
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Âme solitaires
Yuki Fujino
Messages : 134
Date d'inscription : 01/07/2016
Age : 35
Yuki Fujino
Jeu 4 Aoû - 0:03
Bienvenue à toi.^^
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Âme solitaires
Apries M. Ayleward
Messages : 88
Date d'inscription : 26/06/2016
Age : 23
Localisation : Dans la pénombre
Apries M. Ayleward
Jeu 4 Aoû - 1:01
Bienvenue, en enfer mon petit °W°

Une fiche bien remplie si vite barber think Dommage que la fatigue me prenne de court, sinon j'aurais bien été jeter un petit coup d'oeil D:
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Stas Y. Apalkov
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Localisation : Dans le complexe ! *facepalm*
Stas Y. Apalkov
Jeu 4 Aoû - 13:24
Hej.
Sois le bienvenu dans la merveilleuse cacophonie de DE.
Si besoin de précisions sur le contexte ou autre, comme Sylvia, n'hésite pas.

EDIT : Et codes de règlement acceptés. Tous les trois.
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Âme solitaires
Eliott B. Wellington
Messages : 17
Date d'inscription : 03/08/2016
Eliott B. Wellington
Jeu 4 Aoû - 20:13
Yuki et Apries ▬ Merci à vous deux pour l'accueil !

Stas ▬ Présentation finie !
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Stas Y. Apalkov
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Localisation : Dans le complexe ! *facepalm*
Stas Y. Apalkov
Jeu 4 Aoû - 21:03

Validé(e)

Je crois que c'est bon. Vraiment.
Et j'ai même hâte que tu incrustes ton RP ici !
Jolie plume !

Tout est bon, rien à redire. Tu es donc validé ! Tu peux d'ors et déjà ouvrir ta fiche de gestion et ensuite commencer à rp : si tu ne sais pas avec qui débuter l'aventure, tu peux toujours demander ici. N'oublie pas de faire recenser ton avatar et de nous signaler ta présence ! Enfin, si tu veux retracer tes aventures, il t'est possible d'écrire un journal intime.
Bon courage à toi dans le complexe. N'oublie pas que l'avenir dépend de toi.
Au plaisir de te retrouver pour un rp ou sur la cb !
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